Le Jeudi de l’Ascension 2002, dans le cadre unique des arènes de Nîmes, Paco Ojeda confère l’alternative à César Jiménez, en présence d’El Juli, face à un lot de toros de Torrealta. Novillero en vue au début des années 2000, le natif de Fuenlabrada a souvent été associé au cartel avec l’un des grands espoirs du Centre français de Tauromachie. Entre 1998 et 2000, Julien Miletto officia de nombreuses fois au côté de César Jiménez, leur association devenant un duo classique de la programmation des novilladas sans picadors de l’époque.
Deux novilleros qui continuèrent en novillada formelle, dès leurs débuts en 2001, avec deux courses toréées ensemble à Nîmes, lors des ferias de Primavera. Deux apprentis-toreros qui partagèrent encore le paseo à Arles, Roquefort ou encore dans les anciennes arènes de Saint-Perdon.
Ce samedi 20 septembre 2003, plus d’un an et demi après leur dernière course toréée ensemble, César Jiménez et Julien Miletto vont se retrouver à l’affiche. Bien des choses ont changé… Le torero madrilène est devenu l’une des principales vedettes de la tauromachie, solidement ancré en tête du classement Escalafón. De son côté, Julien Miletto signe une ultime temporada des plus solides en qualité de novillero, avec 21 courses toréées pour un total de 18 oreilles coupées.
Pour la première fois de sa carrière, Julián López « El Juli » va officier en tant que parrain d’alternative aux arènes de Nîmes. César Jiménez sera le témoin de la cérémonie. Vêtu d’ivoire et or, Julien Miletto vit l’un des plus grands jours de sa vie dans les arènes de sa ville natale. Tout juste âgé de 20 ans, le nouveau matador de toros dédie la faena de « Judío » à son père. Mais c’est devant « Droguero », l’ultime Zalduendo de l’après-midi, que Julien Miletto se livrera pleinement, effectuant une vuelta, passant tout près de couper l’oreille de ses deux toros.
Une corrida immortalisée par l’une broncas les plus sonores qu’ait connues les arènes de Nîmes. Le refus de l’octroi d’une seconde oreille au Juli par le trio présidentiel occasionnant un scandale majeur sur les gradins, dès l’arrastre
du 2e toro et ce, jusqu’à la fin de la course.
Julián López « El Juli » cède sa muleta de matador de toros à l’impétrant Julien Miletto, sous le regard de son compère des « années novilladas », César Jiménez (crédit photo : Christophe Chay).
Deux novilleros qui continuèrent en novillada formelle, dès leurs débuts en 2001, avec deux courses toréées ensemble à Nîmes, lors des ferias de Primavera. Deux apprentis-toreros qui partagèrent encore le paseo à Arles, Roquefort ou encore dans les anciennes arènes de Saint-Perdon.
Ce samedi 20 septembre 2003, plus d’un an et demi après leur dernière course toréée ensemble, César Jiménez et Julien Miletto vont se retrouver à l’affiche. Bien des choses ont changé… Le torero madrilène est devenu l’une des principales vedettes de la tauromachie, solidement ancré en tête du classement Escalafón. De son côté, Julien Miletto signe une ultime temporada des plus solides en qualité de novillero, avec 21 courses toréées pour un total de 18 oreilles coupées.
Pour la première fois de sa carrière, Julián López « El Juli » va officier en tant que parrain d’alternative aux arènes de Nîmes. César Jiménez sera le témoin de la cérémonie. Vêtu d’ivoire et or, Julien Miletto vit l’un des plus grands jours de sa vie dans les arènes de sa ville natale. Tout juste âgé de 20 ans, le nouveau matador de toros dédie la faena de « Judío » à son père. Mais c’est devant « Droguero », l’ultime Zalduendo de l’après-midi, que Julien Miletto se livrera pleinement, effectuant une vuelta, passant tout près de couper l’oreille de ses deux toros.
Une corrida immortalisée par l’une broncas les plus sonores qu’ait connues les arènes de Nîmes. Le refus de l’octroi d’une seconde oreille au Juli par le trio présidentiel occasionnant un scandale majeur sur les gradins, dès l’arrastre
du 2e toro et ce, jusqu’à la fin de la course.
Julián López « El Juli » cède sa muleta de matador de toros à l’impétrant Julien Miletto, sous le regard de son compère des « années novilladas », César Jiménez (crédit photo : Christophe Chay).